Sur ses supports vont émerger des figures bien connues, des icônes du rock de Bowie à Jimi Hendrix en passant par les Beatles. Des portraits sur fond noir qui prennent vie grâce aux nuances de couleurs et aux jeux des formes. Eric Lapierre va aussi piocher dans les codes de la culture populaire. De douces explosions de couleurs, qui sont fluides et laissent transparaître le mouvement.
Sa carrière débute en 2014, grâce à son travail qui a été sélectionné pour faire partie d'une exposition numérique "See Me Takeover", projetée sur un building de Times Square à New York, le temps d'un soir (les prémices d'une expo NFT !).
L'année suivante, un de ses visuels de Keith Richards des Rolling Stones à été choisi par le Magazine GQ Britannique pour accompagner une interview du célèbre guitariste. Ce même visuel a été projeté lors de son entrée pour la remise des "GQ Awards" au Royal Opera House de Londres. Cette même année, deux galeries d'art ont commencé à exposer son travail. En 2016, son oeuvre "Color Face 07" est sélectionnée pour illustrer l'affiche du Festival "Fête du Bruit dans Landerneau".
Fin 2018, il collabore avec le studio d'architecture d'intérieure et de design, le STUDIO MHNA, lors du salon Equip'Hotel de Paris. Après une petite pause, il reprend en douceur sa vie artistique en 2021 avec la vente aux enchères d'un tableau au profit de la Fondation Brigitte Bardot via la maison Rossini à Paris.
Éric Lapierre ne se définit pas avec une démarche artistique particulière. Il travaille "à l'envie du moment". Ses sujets de prédilection sont la musique, la mode, le design, l'architecture et la décoration. Et selon lui, l'art numérique peut être intégré à tout cela. L'artiste a découvert les NFTs grâce à une connaissance à lui très impliquée dans le monde des NFTs, qui l'a poussé à mettre ses visuels sur une plateforme. Pour Eric, le monde des NFTs et les nouvelles technologies ouvrent le champ des possibles à l'art numérique et aux artistes en général.
Il a longtemps hésité avant de se lancer dans les NFTs. Kalart lui a donné envie de franchir le cap, notamment grâce à son coté "made in France". Son premier NFT sur Kalart est "Pixel One NYC". Ce travail sur les grandes villes était commencé depuis un petit moment. Pour lui, le coté pixélisé semblait correspondre au monde des NFTs. D'autres visuels dans le même style sont à venir.
Ses conseils pour les artistes qui hésitent à se lancer dans les NFTs ? De s'informer un minimum via des livres ("Les NFT enfin expliqués" de Félicie Le Dragon par exemple) ou via Twitter.
Vous pouvez également suivre le travail d'Eric sur Instagram et Twitter.